La page blanche. Elle est là, elle me hante. Les lettres sous mes yeux je suis incapable de placer un mot. Mes pensées effrayées par les bavures et les phrases qui résonnent mal, m'égarent dans le blanc. Je suis à la recherche de mes mots, ceux qui sauront me lancer par dessus bord, que le courant m'emporte.
Mais la page reste vierge, vierge de ratures, vierge de toute inscription.
Blocage.
J'ai le plan, j'ai les personnages, les lieux, les odeurs, les couleurs, les émotions... mais impossible, le début me semble infini. Impossible de mettre un mot sur ce que je veux dire, ce que je veux écrire.
C'est une angoisse. Celle de ne pas y arriver, de ne pas réussir, de ne pas savoir écrire.
Simplement la peur de ne pas réussir à faire quelque chose de beau, qui ne soit ni trop, ni pas assez. Trouver les bons mots, pas n'importe lesquels, mais ceux qui se glisseront sous les yeux des lecteurs, qui sauront charmer leur sens et les emmener dans le courant où je me serais plongé.
Laisser le souffle chaud de l'amour frôler la peau au couché du soleil, ou sentir seul la morsure du froid de la neige blanche. Blanche comme cette page.
Page froide.
Mais la page reste vierge, vierge de ratures, vierge de toute inscription.
Blocage.
J'ai le plan, j'ai les personnages, les lieux, les odeurs, les couleurs, les émotions... mais impossible, le début me semble infini. Impossible de mettre un mot sur ce que je veux dire, ce que je veux écrire.
C'est une angoisse. Celle de ne pas y arriver, de ne pas réussir, de ne pas savoir écrire.
Simplement la peur de ne pas réussir à faire quelque chose de beau, qui ne soit ni trop, ni pas assez. Trouver les bons mots, pas n'importe lesquels, mais ceux qui se glisseront sous les yeux des lecteurs, qui sauront charmer leur sens et les emmener dans le courant où je me serais plongé.
Laisser le souffle chaud de l'amour frôler la peau au couché du soleil, ou sentir seul la morsure du froid de la neige blanche. Blanche comme cette page.
Page froide.