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[QUOTE="Valona, post: 355835, member: 780"] Le sourire du réparateur [URL='https://servimg.com/view/19843399/366'][IMG alt="Mes actualités - Mes vacances - Mes aventures Bandea36"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/bandea36.jpg[/IMG][/URL] C'est une belle journée que ce mercredi. Je suis à bicyclette sur la piste cyclable. Sur ma gauche c'est le déroulé des plages. Les rouleaux des eaux de l'océan accueillent des surfeurs et quantité de baigneurs téméraires. Je m'arrête quelquefois pour admirer la virtuosité des athlètes en équilibre sur leurs planches. Il n'y a que quelques kilomètres jusqu'au bourg. Sur ma droite les prés où paissent de paisibles bovins. Je croise nombre de cyclistes profitant comme moi de cet après-midi magnifique. Je me rends au village car il y a la braderie d'été aujourd'hui et demain. Il y a une foule de touristes qui longent la route car il faut garer les voitures sur le grand parking extérieur. Je fais comme tous les autres cyclistes, je pousse mon vélo pour entrer dans la rue principale. Il y a des stands à perte de vues. Une atmosphère de kermesse. Des couleurs éclatantes. Je flâne longuement. J'apprécie cette ambiance malgré la promiscuité parfois pénible. Je m'offre un cône glacé à la pistache. Je prends quelques photos depuis le haut de l'escalier double de l'Hôtel de ville. Un petit tour dans l'office de tourisme où une artiste locale expose ses créations. L'avantage de pousser une bicyclette dans une foule. Les gens s'écartent. Je ne suis pas seule à utiliser ce stratagème jusqu'à présent réservé aux emmerdeuses poussant un landau. La bicyclette est toute aussi efficace pour se frayer un passage. Surtout au près des messieurs qui m'adressent de beaux sourires. Discrets quand ils sont en couples ou en familles, moins hypocrites lorsqu'ils sont seuls. Il y a des gens en maillots de bain malgré l'interdiction. En tongs. Je quitte la place pour découvrir les stands dans les rues. En comparant avec les prix pratiqués en magasins, les vêtements ne sont pas moins chers. Par contre, il y a quelques malins qui vendent des habits d'occasions déjà portés, souvent comme neufs, pour des prix défiants la raison. Un jeans Levis 501, quasiment neuf, est proposé là à 45 euros. Dommage. Il n'y a pas ma taille, du 36. En me promenant ainsi, à l'ombre des bâches multicolores, j'entends parler Allemand, Anglais, Hollandais et même Français. Il faut préciser que cette petite région du littoral océanique est fort prisée des amoureux des paysages variés. D'un côté l'océan, de l'autre des paysages vallonnés, verdoyants. Il y a même une cité troglodyte encore habitée, pas très loin. Je sors de la ruelle pour retrouver le calme. Agréable. Je reste à l'ombre des platanes. Je longe le muret du cimetière. Depuis le début de mes vacances je me promets de venir explorer ce lieu. Là, une camionnette blanche qui barre le passage pour monter la venelle qui y mène. J'avance prudemment. C'est un trou béant avec un couvercle métallique posé à côté. Le haut d'une échelle en dépasse. Je m'approche car j'entends chantonner. Au fond de ce regard il y a un jeune homme. Il est affairé devant un placard ouvert d'où pendent des dizaines de fils électriques. Il ne me voit pas. Il tient une pince et tire des câbles de sa main libre. Il me vient soudain une idée farfelue. Et si je profitais de cette opportunité pour m'amuser un peu ? Je mets ma bicyclette sur sa béquille entre la camionnette et le muret. Personne. On entend le bruit de la foule un peu plus loin. Je m'accroupis au bord du trou. L'indécente position que j'affectionne dans ce genre de situation. Des minutes passent sans que le jeune employé ne lève la tête. Ça doit être sérieux pour qu'il reste ainsi, consciencieux et réfléchi. Je me redresse avant d'être gagnée par l'ankylose. Je fais quelques pas pour éviter les "fourmis" dans les jambes. Je reviens. Dans la même position. L'excitation me gagne car j'imagine déjà plein de scénarios. Comment va t-il réagir ? En tous cas ce jeune garçon ne possède pas un sixième sens très développé. Je me redresse une nouvelle fois. Personne ne vient par là. Je me touche un peu. Ça stimule encore davantage plus ma libido. Je retourne m'accroupir. Cette fois, je fais un bruit. Exprès. Avec ma basket sur le gravillon. Le jeune homme lève enfin la tête. Lève les yeux. Je laisse aux lecteurs, et surtout aux lectrices, d'imaginer la scène. Il m'adresse un grand sourire en me saluant. Je fais de même en restant ostensiblement ainsi, cuisses largement écartées. Au-dessus des probables trois mètres de profondeur de ce trou. Il m'explique ce qu'il fait. Plusieurs coupures de réseaux Internet ont été signalés depuis midi. Le jeune garçon cherche la cause. Je ne comprends pas grand chose dans ses explications techniques. Il semble de plus en plus troublé par mon attitude. Il vient certainement de comprendre que je le fais exprès. Se sent-il privilégié par mes égards ? Je l'espère. Il travaille tout en commentant à haute voix ce qu'il tente de faire. Parfois il cesse pour regarder en l'air. La vue doit le ravir autant que le troubler. Ce qui me propulse dans mes indicibles émotions jouissives. Je n'en montre rien. Faisant semblant de ne pas m'en rendre compte. Je suis morte de honte. Mais c'est cette suave sensation qui détermine mon degré d'excitation. Je vis là un intense moment de plaisir. Je dois me redresser pour éviter la crampe. J'entends mon gentil voyeur qui demande si je suis encore là. Je me penche pour le rassurer en prétextant que l'endroit est à l'ombre et que c'est très agréable. Je bois de l'eau. Je regarde partout autour de moi. Personne. La chance est de mon côté. Je retire rapidement ma culotte. Je reprends ma position exhibitionniste. Quand ma "victime" lève une nouvelle fois la tête il découvre le "spectacle". Je porte une toison pubienne "sauvage", pas taillée et très fournie. J'adore. Au diable les modes glabres et les andouilles qui y sacrifient. Le jeune homme a très certainement la "révélation". Il vient de comprendre. Je le fais exprès. Ce n'est que pour lui. Un évènement qui arrive rarement plus d'une fois dans une existence. Cette fois, les bras ballants, prenant tout son courage, respirant un grand coup, il reste tête levée pour admirer. Je me mets à trembler de plaisir. Ce n'est certes pas ma première "expérience", mais c'est à chaque fois tout comme. Je sens la sueur couler sous mes vêtements. Je frissonne. J'écarte au maximum en adressant le plus chaleureux sourire à mon "spectateur" totalement subjugué. Nous restons silencieux à nous observer. Je n'ai pas un véritable sentiment de domination ou de supériorité mais la situation est rêvée pour me livrer à mon jeu préféré. Mon voyeur me fait de beaux sourires. Tout gêné. Il est mignon. Blond, les yeux clairs. Je le devine terriblement timide. Il se fait violence pour retourner à son activité. Je le salue. Je me redresse. Je remets ma culotte. Je l'entends me remercier. Je pousse ma bicyclette en reprenant mes esprits. Il serait plaisant de trouver un endroit secret pour me masturber un peu. J'aime le faire en me projetant le film. Un film tout frais dont les images récentes se bousculent dans ma tête. Je veux monter au cimetière en le contournant par l'église. Je découvre qu'il y a plein de gens qui piquent niquent entre les tombes. Je reviendrai prochainement. Quelque chose me dit que dans les cimetières il peut se présenter des opportunités rares. C'est sur ces pensées que je retourne dans la foule. Il est presque dix sept heures. Je roule jusqu'à la plage. Je retire mes baskets pour la longer en marchant dans l'eau. Mon vélo fermé à cadenas à côté de la guérite du marchand de frites, de poulets frits qui ouvrent l'appétit du soir. Je n'arrête pas de penser à mon gentil réparateur... À suivre [URL='https://servimg.com/view/19843399/367'][IMG alt="Mes actualités - Mes vacances - Mes aventures Valona30"]https://i.servimg.com/u/f58/19/84/33/99/valona30.jpg[/IMG][/URL] [/QUOTE]
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